Après 50 ans, comment manger et bouger pour tonifier corps et esprit, tout en limitant les douleurs et l’usure ? Autant de questionnements clés qui réclament des réponses éclairées afin d’équilibrer hormones et humeurs.
En tant que diététicien-nutritionniste spécialisé dans le sport, je remarque que les besoins nutritionnels évoluent avec le temps, particulièrement après 50 ans. Le métabolisme ralentit, les apports caloriques doivent donc être légèrement inférieurs pour maintenir un poids stable. Cette adaptation est d’autant plus cruciale chez la femme avec l’arrivée de la ménopause.
Le challenge est alors d’adapter l’alimentation de façon à couvrir les besoins en protéines et en lipides de qualité, ainsi qu’en vitamines et minéraux. Ces éléments sont essentiels pour soutenir l’équilibre hormonal et ralentir le vieillissement cellulaire. Par exemple, l’augmentation de l’apport en calcium est indispensable pour préserver son capital osseux et musculaire, et ainsi réduire les risques d’ostéoporose et de sarcopénie.
Mon métier consiste donc à donner des conseils alimentaires sur mesure. Ces recommandations sont basées sur des critères tels que l’âge, le genre, les dépenses
— DAMIEN PAUQUET DIÉTÉTICIEN-NUTRITIONNISTE SPÉCIALISÉ EN NUTRITION DU SPORT
énergétiques, les pathologies spécifiques et autres caractéristiques du patient. Un plan alimentaire personnalisé est réalisé sur cette base, avec pour objectif de diminuer les risques cardiovasculaires, la prévalence des cancers et autres pathologies liées au vieillissement.
Ma méthode repose principalement sur la chrono-nutrition, à savoir “quand manger quoi, et en quelles quantités”. J’intègre systématiquement un repas plaisir, ou “cheat meal”, par semaine. Cela permet d’éviter toute frustration et de se tenir au programme sur la durée.
Il est également crucial de maintenir une activité physique régulière, idéalement un minimum de 3 séances par semaine, à raison de 45 minutes par séance. Combinez les exercices de “cardio” qui permettent un maintien de la santé cardio-vasculaire, et de musculation, pour un renforcement musculaire optimal. Si vous démarrez de zéro, l’idéal est de débuter avec des sports ne provoquant pas de chocs comme le yoga, le Pilates, l’aquabike ou l’aqua gym.
4 Travailler sous le soleil
6 Six destinations captivantes
8 Vintage et élégance
12 Interview • Jacques van den Biggelaar
16 Panel d’experts • Sexualité
18 Succession et héritage
20 Smartlist • Technologie au quotidien
22 Chronique • Antoine Lebrun
Country manager
Christian Nikuna Pemba
Creative director
Baïdy Ly
Content directors
Annick Joossen
Benjamin Mawet
Texte
Emmanuelle Praet
Heleen Driesen
Valérie Kinzounza
Gwendoline Cuvelier
Photo en couverture
Nils Van Praet
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L’augmentation de l’apport en calcium est indispensable pour préserver son capital osseux et musculaire.
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Profiter de sa résidence secondaire ou simplement d’un long séjour au soleil pour travailler loin de son bureau ? Plus qu’un rêve, cette possibilité est devenue réalité, à condition de suivre des règles strictes. Explications et témoignages.
« La vue depuis mon bureau, ce sont les palmiers et le soleil toute la journée. Le bruit, ce sont les chants des oiseaux dès mon réveil, à 5 heures ! C’est l’heure à laquelle je me lève pour mes clients vivant en Belgique. Pour eux, rien ne change : leurs appels vers mon bureau à Bruxelles sont relayés par Internet, ici, à Alicante. Je réponds 7 jours sur 7 comme si j’étais au bureau. Ma priorité reste le service que je leur offre. Je peux tout gérer à distance, même la signature de contrat grâce à ItsMe. La seule différence, c’est que je peux m’accorder une pause pour un tour en bateau ou pour manger sur ma terrasse. Ce cadre de travail me permet de décompresser », explique Isabelle, Agent immobilier et Courtier d’assurance.
Un accord indispensable
Travailler depuis son lieu de vacances, une pratique qui s’est développée il y a 3 ans lors de l’épidémie de Covid, porte désormais un nom : workation, une fusion entre le travail (work) et les vacances (vacation). Mais télétravailler, que ce soit en Europe ou au bout du monde, implique le respect de règles strictes. « La première, pour un salarié, c’est avoir l’accord de son employeur formalisé par un avenant au contrat. Il est
indispensable d’y insérer le lieu et l’horaire de travail en tenant compte de la fonction exercée et de l’obligation d’être joignable », explique Katleen Jacobs, Business Manager Legal Consultancy chez SD Worx. Les plages horaires doivent être clairement définies entre l’employeur et le travailleur, en tenant compte d’un éventuel décalage horaire et de la disponibilité demandée au travailleur.
Les parties prenantes doivent anticiper au maximum les questions et problèmes potentiels, notamment en cas d’accident du travail. « Un document détaillant le lieu et la période de télétravail doit être établi entre l’employeur et le télétravailleur pour que les accidents du travail soient couverts. L’employeur doit en informer la compagnie d’assurance ».
De la même manière, pour être en ordre au niveau de la sécurité sociale belge, il est préférable de remplir des documents spécifiques, car le télétravailleur ne peut pas prester plus de 25% de son temps de travail à l’étranger (au sein de l’U.E.).
« Nous recommandons d’obtenir un document A1 de l’ONSS, qui atteste que même si le contrat de travail est temporairement exécuté à l’étranger, le salarié reste assujetti à la sécurité sociale belge ». Du point de vue fiscal, « un télétravailleur ne peut pas excéder 183 jours à l’étranger au cours d’une année. En respectant cette limite, tous les revenus, y compris ceux gagnés à l’étranger, seront imposés en Belgique ».
Autonomie et Confiance
Chaque année, le télétravail gagne en popularité ; il offre une opportunité d’autonomie pour les travailleurs, tout en exigeant une confiance mutuelle entre employeur et employé. Un bénéfice commun !
Travailler sous le soleil : les règles à suivre pour profiter d’une “workation” en toute tranquillité
Par Emmanuelle Praet
La première règle, pour un salarié, c’est avoir l’accord de son employeur formalisé par un avenant au contrat.
— KATLEEN JACOBS
BUSINESS MANAGER LEGAL CONSULTANCY SD WORX
Avec les différentes crises traversées ces dernières années, le modèle de l’économie sociale émerge. Au sein de celui-ci, le secteur de la seconde main a le vent en poupe. Les Petits Riens sont certainement l’acteur du secteur le plus connu des Belges, mais soupçonne-t-on l’impact social et environnemental qui se cache derrière cette organisation ?
Aujourd’hui, le secteur de la seconde main profite de l’engouement du public pour le vintage. Acteur incontournable, les Petits Riens récupèrent chaque année 8000 tonnes de dons et disposent d’un réseau de trente magasins de seconde main dans tout le pays. Actifs dans le secteur depuis des décennies sur base d’un modèle d’économie sociale et solidaire, ils voient arriver une concurrence d’acteurs privés de plus en plus forte. Face à cet afflux, les Petits Riens se différencient grâce à un impact social fort et à un impact environnemental évident.
Pour Emmanuel Bawin, directeur général des Petits Riens, trois enjeux clés sont à cibler par rapport à cette nouvelle réalité du secteur de la seconde main. Trois enjeux au cœur desquels se trouve l’engagement social et environnemental des Petits Riens : « D’un point de vue environnemental, il est impensable que des vêtements traversent toute l’Europe pour arriver chez nous. Au niveau social, il faut que les personnes qui travaillent sur cette chaîne puissent soit être en formation, soit avoir un job alors qu’elles sont éloignées de l’emploi. »
Au-delà de ces enjeux sociaux et environnementaux, le directeur général des Petits Riens souligne celui de la digitalisation qui doit devenir un levier pour accroître l’engagement citoyen. « Notre conviction première est qu’il faut garder du commerce physique en matière de seconde main. Ce qui permet de vivre une véritable expérience, tant pour les clients que pour nos travailleurs en insertion. Cependant, en parallèle, nous sommes conscients de l’importance du commerce en ligne. Nous développons actuellement notre propre plateforme avec pour objectif que chaque transaction effectuée ait un impact. Un impact environnemental, car nous restons dans le périmètre de la Belgique, mais aussi un impact social. En effet, il sera possible de reverser tout ou partie de la transaction effectuée pour financer une action sociale des Petits Riens. Grâce à la digitalisation, nous voulons prouver qu’il est possible d’avoir plus d’impact et d’augmenter l’engagement des citoyens. »
Les impacts sociaux et environnementaux sont donc au cœur même de l’économie sociale. Un choix qui n’est pas des plus évident pour les sociétés qui font le choix de ce modèle, comme le souligne Emmanuel Bawin : « Ce n’est pas un petit enjeu. Nous sommes une entreprise d’économie sociale et, dans ce contexte, nous sommes soumis à une double contrainte. Il y a celle de nos ambitions sociales : nous faisons tout pour atteindre nos objectifs sociaux. Nous pilotons notre organisation avec un tableau d’impacts social et environnemental. Mais nous sommes aussi sur un marché où il y a une réalité économique. Notre activité économique doit répondre à une exigence de rentabilité: 80% de nos recettes proviennent de nos ventes, et 20% seulement proviennent de subsides. »
Une réalité impactée par les crises successives : « Nous sommes dans une logique d’entreprise, nous l’avons toujours été, même avant les crises successives. Celles-ci ont accentué un rapport difficile. Il y a un véritable challenge pour faire face à des besoins au niveau social de plus en plus fort avec l’augmentation de la précarité et de nos publics bénéficiaires alors que nos moyens pour y faire face s’amenuisent. Cette capacité de traverser les crises avec un tel niveau d’ambitions sociales et environnementales tout en étant exposé au marché comme n’importe quel autre acteur est un challenge au quotidien. »
Un challenge qui anime particulièrement Les Petits Riens, comme conclut Emmanuel Bawin : « Ce modèle est un modèle d’avenir. A l’heure où les citoyens sont à la recherche de réponses à des crises environnementales et sociales successives, des organisations comme la nôtre prouvent qu’il est possible d’allier activité économique tout en créant un impact environnemental et social fort. Ce modèle est rendu possible par la solidarité et le collectif. Si je prends l’exemple des Petits Riens, chaque matin, ce sont mille personnes qui sont sur le pont. J’ai tendance à dire que l’équipe est plus grande que ça, car il y a aussi toutes les personnes qui nous font confiance et qui s’engagent à nos côtés. Cette notion de communauté engagée, c’est le cœur de l’économie sociale. »
Les Petits Riens occupent une place de premier rang dans le secteur de l’économie sociale et solidaire depuis plus de 85 ans. Notre activité de collecte, tri et vente de biens de seconde main, en plus de son impact environnemental positif, constitue une plateforme d’insertion socioprofessionnelle pour près de 500 personnes chaque année. En parallèle, nous développons également des actions actives dans l’accès au logement, l’emploi et l’accompagnement au quotidien des plus vulnérables.
Avec l’âge, les voyages évoluent : faire du rafting ou du saut à l’élastique ne sont plus des options, mais il reste possible de partir à l’aventure. Nous avons interrogé des agents de voyage sur les destinations les plus adaptées aux cinquantenaires actifs. En voici un aperçu.
Par Heleen DriesenTerre d’architecture coloniale intacte, de passion et d’histoire caraïbéenne, la Colombie est une destination d’Amérique du Sud très demandée. Découvrez ce joyau caché avant tout le monde. Visitez la trépidante Bogota à vélo ou suivez les traces de l’écrivain Gabriel García Márquez dans la ville de Carthagène. Explorez la beauté de la Colombie à travers ses villages typiques, ses anciens sentiers indigènes et ses vastes plantations de tabac et de café. Partez à la recherche de la Cité Perdue dans la forêt tropicale. Plongez dans les eaux bleu azur du parc national de Tayrona, un site naturel à couper le souffle.
Le sud de la Tunisie dans toutes ses variantes
Anders ReizenCelui qui associe la Tunisie aux hôtels “all in” ne connaît pas l’autre Tunisie. Entre la Méditerranée et le Sahara s’élèvent les monts Dahar, avec leur paysage lunaire et leurs villages troglodytes. Dans les ksour - anciens villages fortifiés à l’architecture berbère - les habitants perpétuent un mode de vie traditionnel. Explorez ces sites impressionnants à pied. Sur le chemin vers Douiret et le majestueux Guermassa, croisez des troupeaux de moutons et de chèvres avec leurs bergers. Traversez le désert et la ville-oasis de Douz à dos de dromadaire, puis dormez en plein air, sous les étoiles scintillantes.
Découvrez l’île enchanteresse de Senja en hiver. Ce paradis norvégien a tout pour séduire les amoureux de la nature et de la culture arctique avec ses montagnes, ses fjords et ses villages authentiques. Visitez des sites spectaculaires près de Mefjordvær, un ancien village de pêcheurs, en raquettes ou à skis. Faites une promenade en traîneau sur les hauts plateaux enneigés. Prenez le bateau Arctic pour observer les aigles de mer et les animaux aquatiques. Accompagnés d’un guide professionnel, admirez les aurores boréales. Les points de vue de Knuten, Tungeneset et Bergsbotn vous laisseront immanquablement des souvenirs inoubliables.
La Nouvelle-Zélande est l’endroit rêvé pour créer des souvenirs inoubliables. Découvrez le pays sous toutes ses facettes en camping-car ou en voiture et faites l’expérience de la beauté, de la liberté, de l’aventure et de l’adrénaline. Rotorua, Kaikoura, Milford Sound et Queenstown sont des sites incontournables. Visitez la forêt de Waipoua Kauri aux fougères typiques et aux imposants arbres Kauri. Rencontrez des dauphins dans la Bay of Islands, assistez à une cérémonie Waka Turehu avec danses et chants traditionnels, faites du kayak dans la Torrent Bay ou réalisez un vol panoramique en hélicoptère et atterrissez au sommet d’un glacier.
Au volant de votre véhicule 4X4, regardez le paysage changer en chemin vers le parc national de Murchison. Faites une halte au sanctuaire des rhinocéros de Ziwa et partez à pied à la recherche de l’imposant rhinocéros blanc. Lors d’un safari en bateau dans le parc national Queen Elizabeth, observez hippopotames, éléphants et crocodiles. Sachez qu’une bonne condition physique est nécessaire pour suivre chimpanzés et gorilles, mais les rencontrer dans leur habitat naturel est une expérience fantastique. Détendez-vous au bord du lac Bunyonyi, où vous pourrez faire du canoë, de la tyrolienne, du kayak ou vous baigner.
En train, en bateau et à vélo à travers le Viêt Nam - Joker
Rendez votre voyage au Viêt Nam durable, varié et passionnant grâce aux transports publics. À Ho Chi Minh-Ville, visitez les temples et pagodes hindous, les tunnels de Cu Chi et revivez le passé militaire du Viêt Nam. Traversez à vélo la zone de mangrove et découvrez le marché flottant de Cai Be. Faites des rencontres uniques en séjournant chez l’habitant. Le train de nuit vous emmènera dans l’ancienne ville commerçante de Hoi An, mélange d’influences étrangères et locales. À Ninh Binh, détendez-vous au milieu des rizières verdoyantes. Dans les îles de la baie d’Halong, profitez d’un coucher de soleil envoûtant.
Dans la Région de la Lys, soit vous vous détendez au bord de l’eau, soit vous optez pour l’action sur les flots. C’est vous qui décidez !
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Les étangs, rivières et canaux de la Région de la Lys créent un cadre sportif pour toutes sortes de sports nautiques.
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Par Valérie Kinzounza
La tendance vintage a clairement la cote depuis quelques années. L’adopter peut évidemment s’inscrire dans une démarche écoresponsable, mais c’est surtout l’occasion d’apporter une touche personnelle à votre look en misant sur de belles pièces.
« Le vintage, c’est une pièce qui a au moins 20 ans », explique Samia Bouhjar, directrice artistique & styliste. Alors, une fois passée la cinquantaine, porter du vintage exige un certain savoir-faire : hors de question de paraître vieillot ! L’idée, c’est de l’incorporer pour rester résolument moderne. « Les pièces vintage permettent de rendre une silhouette unique et plus ‘’mode’’ qu’en misant uniquement sur des classiques actuels de marques grand public », précise Marie Honnay, journaliste de mode. « Surtout que la mode mainstream a tendance à créer des clones de clones. Le vintage, lui, va permettre de révéler votre personnalité », renchérit Samia Bouhjar.
Par où commencer ?
Porter une pièce vintage est donc un bon moyen de se démarquer, en affirmant son propre style. À condition de savoir s’y prendre pour mixer vintage et pièces contemporaines. Tout est question d’équilibre et il est préférable de commencer par des pièces simples, de qualité et intemporelles. « Deux catégories sont à privilégier : les vestes/blazers bien coupés et les accessoires », indique Samia Bouhjar. « Une veste bien ajustée peut instantanément relever un look basique composé d’un jean ou d’un pantalon classique et t-shirt. » Et une fois que vous maîtrisez l’art du vintage, « Vous pouvez oser, avec des pièces comme un chemisier en soie très “peps”. Les jeans taille haute sont très flatteurs et faciles à dénicher en seconde main. Avec un joli haut, l’ensemble est adapté au quotidien. Pour rester chic, quoi qu’il arrive, misez sur de belles matières », conseille Marie Honnay.
Le bon plan : les accessoires
C’est sans doute la manière la plus simple d’apprivoiser le style vintage : un sac à main, un foulard, une ceinture ou un bijou vintage ajoutent assurément une note sophistiquée pour un rendu unique et confèrent immédiatement de la personnalité et du style. « Un foulard en soie peut devenir votre meilleur allié pour finaliser un look, car il est polyvalent : porté en bandeau autour de la tête ou en foulard noué, il donne un style plus bohème ; autour du cou il est arty ou classy ; en ceinture, il allie utilité et esthétisme », assure Samia
Bouhjar. Et les bijoux ? Utilisez-les avec parcimonie pour éviter l’écueil du sapin de Noël rétro. Privilégiez l’or, l’argent ou les bijoux en résine.
Ce qu’il vaut mieux éviter
Retenez que « l’important pour ne pas paraître déguisée, c’est d’opter pour des pièces dont la coupe est encore actuelle. Donc évitez le “trop épaulé” type 80’s, ou les imprimés trop datés 70’s. » Sans oublier la règle d’or : toujours essayer un vêtement vintage avant de l’acheter.
Le vintage, c’est une pièce qui a au moins 20 ans.— SAMIA BOUHJAR DIRECTRICE ARTISTIQUE & STYLISTE
Legendary Wines & Exclusive Spirits
En tant qu’importateur de premier plan en Belgique, nous offrons la plus grande sélection de vins et spiritueux les plus renommés au monde. Nous n’importons que directement du domaine, ce qui garantit à nos clients les meilleurs prix.
Excellence is not an act, but a habit
En tant qu’entreprise familiale, nous garantissons un service d’excellence depuis près d’un demisiècle. Nous livrons vos précieuses bouteilles avec nos propres chauffeurs et nous les livrons où vous le souhaitez. Tous les vins sont stockés dans des entrepôts à température contrôlée.
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Nextensa est un investisseur et promoteur immobilier belge coté en bourse, né il y a deux ans de la fusion de Leasinvest Real Estate et d’Extensa Group. La nouvelle structure investit et se développe avec dynamisme tout en respectant des valeurs telles que la vision à long terme, la création de valeur et la durabilité. Nous avons rencontré son Chief Investment Officer Olivier Vuylsteke.
Nextensa est actif dans les immeubles de bureaux, l’immobilier résidentiel et l’immobilier commercial en Belgique, au Luxembourg et en Autriche. Le groupe loue également des espaces événementiels à Tour & Taxis à Bruxelles. « Auparavant, Leasinvest était principalement un investisseur à long terme avec un profil de ‘’bon père de famille’’ », explique Olivier Vuylsteke. « Tandis qu’Extensa était un pur développeur. Leur site le plus connu est probablement Tour & Taxis à Bruxelles, mais ils ont également une participation au Luxembourg, à la Cloche d’Or. Les deux sites sont similaires en termes de volume, de caractéristiques d’utilisation mixte et d’impact. »
La fusion de Leasinvest et de Nextensa a permis de générer une vision intégrée des investissements purs et des développements. Et ce, dans le long terme. « C’est ainsi que nous nous positionnons sur le marché », explique Olivier Vuylsteke. « En tant que promoteur, nous opérons sur un marché cyclique, mais nous pouvons aussi réaliser rapidement une plus-value. D’autre part, nous disposons d’un flux de trésorerie stable grâce à notre portefeuille existant. Nous pouvons donc agir rapidement si nécessaire, même si nous privilégions une vision à long terme. »
Cette approche est clairement perceptible à Tour & Taxis. « Un site où nous sommes impliqués depuis 20 ans. Notre volonté est
d’en faire un quartier actif 7 jours sur 7, avec un mix équilibré et agréable de bureaux, de commerces, d’événements et de logements. La taille du site nous permet d’y apporter ce dynamisme. À la Cloche d’Or, nous avons également adopté cette approche. Son inconvénient étant qu’elle exige de la patience et des investissements initiaux élevés. Heureusement, nous pouvons compter sur un actionnaire important (Ackermans & Van Haaren) qui partage cette vision. De plus, les communes et les investisseurs sont aujourd’hui beaucoup plus favorables à ce type d’approche «mixte», car elle contribue à renforcer le tissu urbain. »
Cet accent mis sur la croissance à long terme se reflète également dans l’approche de Nextensa en matière de durabilité et d’ESG.
« Tant sur le plan financier qu’environnemental, notre portefeuille se doit d’être stable », souligne le responsable des investissements.
« Dans notre offre industrielle et logistique, par exemple, nous avons déjà vendu certains bâtiments parce qu’ils ne répondaient plus à nos critères en termes d’ancienneté et d’emplacement. Cela vaut aussi pour les nouveaux développements, tant l’offre de bureaux que les immeubles résidentiels ou commerciaux. Notre nouvel immeuble de bureaux Monteco à Bruxelles a ainsi obtenu la note «Excellent» selon la norme de certification BREAAM. À Tour & Taxis, un réaménagement d’un patrimoine ancien, nous utilisons déjà pleinement les panneaux solaires, la récupération de l’eau et l’énergie géothermique. Nous canalisons aussi le plus possible la circulation sur le site vers de grands parkings souterrains, afin de laisser la priorité aux cyclistes et aux piétons en surface. C’est une démarche délibérée sur laquelle nous ne reviendrons pas. De nos jours, de nombreux locataires potentiels sont très sensibles à cet aspect et le font d’ailleurs savoir explicitement. D’un point de vue commercial, il s’agit donc de la bonne approche. »
Concernant l’avenir, le portefeuille de Nextensa présente encore un grand potentiel de développement, ajoute Olivier Vuylsteke. « À la Cloche d’Or, par exemple, nous avons encore cinq ou six ans devant nous. Il va de soi que nous étudions constamment le marché à la recherche d’opportunités. Il y a aussi des sites existants pour lesquels nous avons des projets. Le site Boomerang à Luxembourg-Ville est aujourd’hui entièrement loué, mais la ville souhaite à terme y construire une nouvelle ligne de tramway pour le rendre plus accessible. Nous céderons alors une partie de nos terrains, en échange de quoi nous pourrons réaliser un plus grand nombre de nouveaux développements. Il s’agit là d’une composante importante de notre portefeuille qui attend encore d’être exploitée ».
Olivier Vuylsteke Chief Investment Officer
La préservation de la nature est au cœur de presque toutes nos actions et le logement durable représente une composante principale de notre engagement. Il s’agit de réduire l’utilisation des combustibles fossiles et les émissions de CO2. Cela est non seulement bon pour l’environnement, mais aussi pour votre portefeuille. Un système de chauffage renouvelable permet d’économiser jusqu’à 60 % sur vos coûts énergétiques. L’installation d’une pompe à chaleur autonome nécessite des modifications importantes dans votre habitation. C’est pourquoi, en cas de rénovation, il est préférable d’opter pour un système de chauffage hybride, combinant une pompe à chaleur et une chaudière gaz ou mazout. Cela nécessite moins de travaux d’aménagement et vous permet néanmoins de réaliser d’importantes économies d’énergie.
Buderus a installé un système de chauffage hybride dans deux des projets de rénovation du récent programme de la VRT 1 ‘’Ons huis/Nieuw huis’’. Les experts de Buderus sont spécialisés dans ce type d’installation et peuvent compter sur le soutien de techniciens expérimentés lors de l’installation.
Le niveau d’isolation d’une maison rénovée est souvent très inférieur à celui d’une
nouvelle construction. C’est pourquoi il est judicieux de compléter la pompe à chaleur avec une chaudière capable de répondre aux besoins en chauffage et en eau chaude lors de températures très froides ou de demande élevée en eau chaude. En outre, l’installation d’un système de chauffage hybride nécessite des aménagements moins importants. C’est un système intelligent qui détermine automatiquement quel appareil utiliser pour optimiser la production d’énergie.
Dans un système de chauffage hybride, c’est principalement la pompe à chaleur qui est sollicitée. Ce système est donc respectueux de l’environnement car il consomme beaucoup moins de combustibles fossiles (gaz ou mazout) et émet donc moins de CO2. Il vous permet également de réaliser d’importantes économies d’énergie, surtout si vous investissez dans des panneaux solaires qui alimentent la pompe à chaleur en électricité.
L’installation d’un système de chauffage hybride implique un peu de tuyauterie supplémentaire. Ce système se compose d’une unité intérieure et d’une unité extérieure, nécessitant un raccordement entre la chaufferie et l’extérieur. Le
système est entièrement compatible avec des radiateurs, dont des modèles basse température qui se marient parfaitement avec un système de chauffage hybride. Ce qui vous évite d’effectuer des travaux supplémentaires, comme l’installation d’un chauffage au sol.
Une fois le système installé, l’installateur règle les paramètres requis via le menu de service. En tant qu’utilisateur final, vous pouvez effectuer vous-même certains réglages, tels que la programmation horaire, grâce au menu utilisateur.
Le système de l’avenir
Vous faites des travaux d’isolation dans votre maison ? Sachez que ce système de chauffage en tirera parti. En effet, plus la qualité d’isolation de votre habitation est élevée, plus la pompe à chaleur assurera la production de chauffage et d’eau chaude.
Plus d’information : www.hybrid.buderus.be
Contact : marketing@buderus.be
Les systèmes de chauffage hybrides, l’idéal pour la rénovation.
À63 ans, Jacques van den Biggelaar tourne actuellement sa dernière saison de présentation de l’émission “I Comme”. Après plus de 40 ans de carrière au sein de RTL, le journalisteprésentateur déborde de projets pour sa future retraite !
Était-ce votre rêve de devenir journaliste ?
« Oui ! Quand j’étais petit, je me souviens avoir vu le commentateur sportif de la RTBF Luc Varenne à l’œuvre lors d’une étape du tour de France et m’être dit “c’est ça que je veux faire”. J’étais très attiré par le travail de terrain. En 1982, en dernière année de Communications Sociales à l’UCL, j’ai eu la possibilité d’effectuer un stage chez RTL Luxembourg. Ensuite, je suis revenu à Bruxelles et je n’ai plus jamais quitté la chaîne, à l’exception d’une interruption de 8 mois pour mon service militaire, qui était obligatoire à l’époque. »
Aujourd’hui, vous êtes surtout connu comme “Monsieur I Comme”. Comment êtes-vous arrivé à ce poste ?
« Robert Diligent, le créateur de l’émission, venait de prendre sa retraite. Il fallait quelqu’un pour le remplacer au pied levé. J’avais 31 ans, j’étais reporter à la rédaction du journal télévisé, et j’aimais bien travailler sur des sujets drôles ou insolites. On m’a proposé de reprendre le flambeau. En bon bélier que je suis, j’ai foncé et j’ai accepté immédiatement. C’était une évidence ! »
Vous arrêterez, à votre tour, de présenter le magazine à la fin de l’été 2024. Qui sera votre successeur ?
« Nous ne le savons pas encore. L’idée n’est pas de trouver mon alter ego. Ce changement sera l’occasion de repenser
Vous bénéficierez d’une réduction fiscale de 45 % si le cumul de vos dons atteint 40 euros ou plus par année civile (conformément aux conditions prévues à l’article 145/33 CIR 1992).
Quand je suis sur scène, je me sens vraiment dans mon élément.Par Gwendoline Cuvelier • Photo © Nils Van Praet Jacques van den Biggelaar
et de moderniser l’émission. “I Comme” est né dans les années 80 et même si le format a évolué au fil des années, un petit rafraichissement serait le bienvenu ! »
Vous avez réalisé un podcast intitulé “Un boulet en reportage”, dans lequel vous racontez vos gaffes de tournage. C’est comme ça qu’on vous appelle ?
« C’est plutôt le titre que je me suis moi même attribué ! Je suis un peu victime du syndrome de l’imposteur. J’ai encore parfois du mal à croire que j’exerce ce métier auquel j’aspirais tant étant jeune. Tourner tout à la rigolade est une façon de ne pas me prendre trop au sérieux. »
Quelle est la plus grosse bourde que vous ayez commise en tournage ?
« Nous venions d’arriver en bateau à New York avec l’équipe d’”I Comme”. Un taxi nous emmenait à l’aéroport en direction de l’Alabama pour un reportage. Au volant se trouvait un Haïtien, appelé Jean-Baptiste. J’étais tellement enthousiaste de rencontrer un francophone à notre arrivée aux États-Unis qu’on a parlé pendant tout le trajet, et j’ai complètement oublié le sac avec le matériel de la caméra dans son coffre ! J’ai remué ciel et terre pour retrouver ce chauffeur parmi les milliers de taxis jaunes new-yorkais. L’histoire finit bien, puisque nous avons pu récupérer tout le matériel ! »
Vous avez souvent participé aux pièces de théâtre de RTL au profit du Télévie. Est-ce un exercice que vous appréciez ?
« J’adore ! Devenir acteur a toujours été un rêve, et ça l’est d’ailleurs encore aujourd’hui. Cette année, nous avons présenté des sketchs lors du “Télévie en Folie”. C’était génial ! Quand je suis sur scène, je me sens vraiment dans mon élément. J’aime faire rire, m’approprier un texte drôle, entrer dans la peau d’un personnage... Pourquoi pas, à l’avenir, me lancer dans le stand-up ? »
Vous avez rénové une maison en Ardenne, où vous prévoyez de passer votre retraite. Qu’est-ce qui vous plaît là-bas ?
« C’est une maison de la famille de mon épouse. Au départ, nous voulions l’utiliser comme résidence secondaire. Nous avons emménagé
pendant le confinement, en télétravail. Le coin est tellement agréable que nous avons décidé de nous y installer à plein temps ! Ce qui nous a séduit, c’est la nature environnante et surtout les gens, si charmants. L’Ardennais peut paraître rude au premier abord mais sa confiance gagnée, c’est quelqu’un de très agréable et beaucoup moins individualiste que le Bruxellois d’aujourd’hui. »
Vous avez 4 enfants et 4 petits-enfants. Quel style de grand-père êtes-vous ?
« Un papy gâteau ! Mes petits-enfants me surnomment “Panini”. En tant que fan de Winnie l’ourson, j’avais proposé qu’on m’appelle “Papy Winnie”, mais mon premier petit-fils en a décidé autrement. Quand il a commencé à balbutier, il a transformé le nom que je m’étais choisi en “Panini”, et c’est resté ! »
Êtes-vous inquiet pour leur avenir par rapport au réchauffement climatique ?
« Je suis plutôt optimiste. J’ai une confiance aveugle, et peut-être déraisonnable, en l’être humain. Bien sûr, l’état de santé de la planète est préoccupant. Je suis très critique par rapport à ma génération qui a laissé pourrir notre environnement, certes pas toujours en connaissance de cause, mais qui ne fait rien pour faire marche-arrière. Heureusement,
je sens qu’il y a derrière Greta Thunberg toute une génération qui, quoi qu’il arrive, va changer les choses. J’ai confiance. »
Quel est votre secret pour rester jeune ?
« Aimer les gens ! Je suis persuadé que nous possédons tous le meilleur en nous. Je me lève chaque matin dans le but de rencontrer des personnes sur cette Terre qui vivent quelque chose de différent, et de découvrir leur monde à eux. Ce n’est pas une curiosité journalistique feinte, cela fait intrinsèquement partie de moi d’avoir envie d’apprendre à connaître les autres. »
À quelle autre époque auriez-vous aimé vivre ?
« Je suis fasciné par Versailles et la vie des rois de France, mais je ne dirais pas que l’Ancien Régime était une belle époque. Je n’aurais pas pu vivre comme un noble qui ignore tout de la vie du peuple. Je préférerais être une petite souris. Une souris à Versailles, ça c’est bien ! »
Passion Winnie l’ourson
Jacques van den Biggelaar collectionne les objets à l’effigie de Winnie l’ourson. Il possède près de 100 peluches, porte-clefs et autres gadgets dans sa collection. L’histoire qui était la préférée de ses enfants quand ils étaient petits est maintenant celle que ses petits-enfants lui réclament régulièrement à leur tour !
40 bougies
Cette saison, ”I Comme” fête ses 40 ans. L’occasion pour Jacques van den Biggelaar de quitter les studios de RTL et d’enregistrer les émissions directement dans le salon des téléspectateurs. Le principe : tout le monde cache quelque chose d’insolite. Il ne reste plus qu’à découvrir ce que c’est !
Ce n’est pas une curiosité journalistique feinte, cela fait intrinsèquement partie de moi d’avoir envie d’apprendre à connaître les autres.
• Lingettes ophtalmiques stériles
• Extraits de camomille et d’euphrasia
• Contient de l’acide hyaluronique
• Sans conservateur
• Convient à toute la famille
Une conversation claire est comme une lumière dans l’obscurité. Qu’il s’agisse d’une question posée par un serveur qui parle doucement ou d’une conversation dans une pièce bruyante. Lorsque chaque voix est entendue haut et fort, un monde s’ouvre à vous. C’est ce que vous offre Lumity, la dernière génération d’aides auditives de Phonak.
des aides auditives depuis 2016. Comme il a particulièrement du mal à suivre les conversations, il a récemment opté pour Phonak Audéo Lumity. “J’ai immédiatement remarqué une amélioration. Les aides auditives sont constamment à la recherche d’une voix à renforcer. Chaque situation est différente, mais cela ne pose aucun problème à Phonak Audéo Lumity. Un peu plus fort ? Un peu moins de bruit de fond ? Avec l’application myPhonak, je peux personnaliser moi-même le son en fonction de mes besoins. Je contrôle ainsi mon audition.
Étanchéité
Wim a choisi la version étanche Phonak Audéo Lumity Life. La transpiration pendant le jogging ou une averse soudaine ne le découragent pas. “Cela me rassure de savoir que mes appareils Phonak sont capables d’encaisser des coups. D’autres appareils posent parfois des problèmes lorsque des gouttes tombent dessus ou que de l’humidité pénètre dans le microphone. Je n’ai plus à m’inquiéter de cela”.
Une bonne conversation fait des merveilles. Mais elle peut aussi s’avérer très fatigante lorsque le bruit de fond étouffe la conversation, ou lorsque seules des parties sont entendues et qu’il faut demander à ce qu’elles soient répétées à plusieurs reprises.
La dernière génération d’aides auditives - Phonak Audéo Lumity - est équipée de la technologie unique Phonak SmartSpeech. Cette technologie consiste en diverses fonctions de performance auditive qui vous aident à mieux comprendre la parole dans toutes sortes d’environnements. Dans le silence ou le murmure, de près ou de loin, les aides auditives s’adaptent automatiquement à la situation d’écoute.
Vous contrôlez la situation
Wim Van der Beken (41 ans) souffre d’une perte auditive congénitale. En particulier, il entend moins bien les sons aigus. C’est pourquoi il porte
Tap Control
Même un appel téléphonique vous paraît plus clair. Pour ce faire, il vous suffit de double-cliquer et votre aide auditive bascule sur l’appel entrant sur votre smartphone. C’est ce qu’on appelle le “Tap Control”. Les aides auditives se souviennent de huit connexions Bluetooth et peuvent être connectées à deux appareils en même temps.
Vous pouvez ainsi passer sans effort d’un appareil à l’autre, sans avoir à vous soucier de manquer un appel pendant que vous regardez la télévision. “J’utilise souvent la fonction GPS avec bluetooth, ce qui m’évite de devoir toujours regarder l’écran de mon smartphone. Mes compagnons de voyage sont toujours surpris de voir à quel point je connais mon chemin”, s’amuse Wim.
Wim n’a plus besoin de changer les piles. Avec le Phonak Charger Ease, les batteries lithium-ion sont rechargées en seulement trois heures pour une journée entière. Le Phonak Charger Case Go sans fil peut même recharger les appareils jusqu’à trois fois. De quoi passer un week-end entier sans manquer une seule conversation.
Les aides auditives Lumity sont-elles faites pour vous ?
Scannez le code QR. Vous pourrez ainsi faire le premier pas vers une meilleure audition dès aujourd’hui !
Briser les tabous de la sexualité et partir à la découverte d’une sexualité épanouie après 50 ans : des spécialistes vous livrent leurs conseils pour surmonter les obstacles et réinventer votre intimité.
Par Emmanuelle Praet
Quels sont les changements physiques et émotionnels qui peuvent affecter la sexualité après 50 ans ?
« La moitié des femmes connaissent des bouffées de chaleur et un quart d’entre elles en sont incommodées. Les autres symptômes, comme les maux de tête, les palpitations cardiaques, l’anxiété, la fatigue, les douleurs musculaires et articulaires, ou encore la perte de cheveux, surviennent chez 30 à 50% de femmes. Notons que 10% d’entre elles affirment en être véritablement incommodées. Voir son corps changer, se voir vieillir, faire face à la ménopause, c’est loin d’être anodin. C’est une période difficile, mais pas une fatalité. »
« Chez l’homme, les doutes, essentiellement liés aux troubles érectiles, ainsi que les angoisses qui en résultent (bien qu’elles puissent survenir à tout âge) sont les plus puissants castrateurs. Chez la femme, la ménopause et ses répercussions sur le confort (bouffées de chaleur, prise de poids, maux de tête…), sont souvent perçues de manière négative. Pourtant, des aspects positifs existent également, comme l’arrêt des menstruations et une liberté retrouvée avec son corps, entre autres. »
Comment peut-on maintenir une vie sexuelle épanouie malgré ces changements ?
« Il faut s’y intéresser ! Prendre soin de son corps, de son esprit et de sa sexualité est essentiel. Il faut parler avec son partenaire de ce qu’on aime, n’aime pas, des changements que nous souhaitons. Si l’épanouissement érotique a été cultivé avant 50 ans, il n’y a aucune raison que cela change par la suite. Chez la femme, le clitoris est tout aussi sensible. En acceptant le passage du temps et en maintenant une bonne communication, la vie sexuelle peut rester épanouie. »
« Tout va dépendre du couple, de sa dynamique et de l’idée qu’il se fait de la sexualité. Pour certains, la fin des rapports sexuels est une évolution naturelle, une suite logique. Pour d’autres, qui décident de faire la démarche d’en parler, c’est tout le contraire. La recherche de la complicité perdue est au centre de mes consultations, souvent initiées par les femmes. Savez-vous qu’en moyenne, un couple a plus de rapports sexuels durant la première année que sur l’ensemble de la relation ? »
Quels sont les obstacles qui peuvent entraver cet épanouissement ?
« Ils sont multiples, car la sexualité est influencée par notre histoire personnelle, notre état de santé, nos émotions et la relation au sein du couple. Pour une sexualité épanouissante, tous ces éléments émotionnels et relationnels doivent être positifs. Si le couple est en conflit ou en proie à un stress constant, la sexualité, qui ne fonctionne pas de façon autonome, ne peut pas être épanouie. Il est donc capital de travailler à tous les niveaux et surtout d’accepter les changements de notre corps. »
« L’aspect relationnel au sein du couple est crucial ! Avec le temps, les partenaires ne sont plus amants, mais cohabitants, ce qui n’est pas la même chose. Il est important de pouvoir en parler ouvertement. Les problèmes d’érection ou de désir ne se résolvent pas d’euxmêmes, bien au contraire. Mon rôle est de dédramatiser, de mettre des mots sur ce que la personne vit. Certains réflexes, au contraire, renforcent le trouble. Par exemple, se retenir en cas d’éjaculation précoce favorise la tension et donc l’éjaculation. »
« Je dirais que c’est surtout la perception que nous avons de notre sexualité qui importe. C’est une période cruciale, car les enfants quittent le nid, le corps change... La relation avec son partenaire, surtout si on le connaît depuis longtemps, doit être réinventée. Il s’agit d’une seconde jeunesse ! Tout comme à l’adolescence, les changements sont là mais ils permettent de renaître et de remettre au centre la sexualité, peut-être délaissée auparavant. »
« Ce qui est formidable, c’est qu’une fois les changements, parfois inconfortables, acceptés, il y a plus de maturité, moins de tabous, et moins de complexes. C’est le moment de la créativité ! L’inspiration pour se réinventer peut provenir de lectures, d’ateliers (notamment www.sexponentielle.be) ou même de consultations. Ce n’est pas la fin de quelque chose, ou comme je l’entends parfois le moment de “fermer boutique”. Au contraire, il s’agit d’une période de renaissance. »
« Ce sont les peurs ! La crainte de ne plus y arriver ou de ne plus avoir de sexualité. Dans la plupart des cas, l’obstacle est essentiellement dans la tête. Les questions peuvent être diverses. Si l’on est célibataire, comment faire de nouvelles rencontres ? Si l’on est un couple depuis longtemps, comment pimenter une sexualité devenue habituelle ou monotone ? Il ne faut donc pas avoir peur de parler de ses désirs avec son partenaire. Faites en sorte de trouver de nouveaux moments propices, pourquoi pas dans des lieux différents. »
Chez Féminine Intimate, nous nous engageons à répondre aux besoins uniques des femmes tout au long de leur vie. Nous savons que l’hygiène intime est un aspect crucial de la santé et du bien-être et qu’elle évolue avec l’âge. C’est pourquoi nous avons créé une gamme de produits d’hygiène intime conçus pour toutes les femmes.
Notre mission est de leur fournir une expérience complète de confort, de soin et de protection. L’hygiène intime n’est pas seulement une question de propreté, mais aussi de santé. Au cours de la vie, le corps des femmes subit des changements naturels. La ménopause, par exemple, entraîne des modifications hormonales qui peuvent rendre la peau plus sensible et sujette à l’irritation. C’est pourquoi il est essentiel de choisir des produits d’hygiène intime adaptés à ces besoins spécifiques. Nos lingettes d’hygiène intime sont le produit phare de notre gamme et elles sont spécialement conçues pour offrir un nettoyage en douceur
et une protection optimale à chaque étape de la vie. Elles sont imprégnées d’une formule douce qui respecte la délicatesse de la peau tout en assurant un nettoyage en profondeur. Ces lingettes contiennent des ingrédients naturels soigneusement sélectionnés pour leurs propriétés apaisantes et hydratantes. Ainsi, chaque utilisation procure une sensation de fraîcheur, de propreté et de confort, tout en prenant soin de la peau.
Nous savons que la vie moderne peut être trépidante, c’est pourquoi nos lingettes d’hygiène intime sont conçues pour s’adapter à votre rythme de vie. Que ce soit pour une retouche rapide en déplacement, après une séance d’exercice ou simplement dans le cadre de votre routine quotidienne, nos lingettes sont toujours là pour vous. De plus, elles sont emballées de manière pratique, par 20, dans un emballage refermable, ce qui les rend faciles à transporter dans un sac à main, sac de sport ou sac de
voyage. Chez Féminine Intimate, nous nous engageons à soutenir la santé et le bien-être de toutes les femmes. Nos lingettes d’hygiène intime sont équilibrées sur le plan du pH, ce qui les rend sûres pour un usage quotidien. Elles sont exemptes de parabènes et d’alcool, ce qui réduit le risque d’irritation. Cependant, il est important de noter que nos produits ne remplacent pas les consultations régulières avec un professionnel de la santé. Nous encourageons donc toutes les femmes à adopter une approche proactive de leur santé et à discuter de leurs préoccupations avec leur médecin. En choisissant Féminine Intimate, vous investissez dans votre bien-être et votre confiance. Notre gamme de produits offre un soutien complet pour une hygiène intime saine et confortable à toutes les étapes de la vie. Nous croyons en l’importance de l’éducation et de l’ouverture et nous vous encourageons à prendre soin de vous et à vivre une vie saine et confiante chaque jour. Et nous sommes là pour vous accompagner au quotidien dans ce parcours.
Féminine Intimate : Soins complets d’hygiène intime pour les femmes de 50 ans et plus
La planification de sa succession est un enjeu crucial pour garantir une certaine tranquillité d’esprit. Entre le testament et la donation, découvrez les avantages, les précautions à prendre, et les conseils d’experts pour choisir la meilleure approche.
Anticiper la succession assure la quiétude des héritiers à venir. Deux choix courants s’offrent à vous : le testament (révocable et modifiable, mais soumis aux droits de succession) ou la donation (irrévocable, souvent moins taxée, voire exemptée).
La donation, une option moins taxée
Selon maître Caroline Misonne, avocate au cabinet Rivus, la donation est privilégiée pour les biens matériels tels que l’argent, les œuvres d’art, et les bijoux. Elle peut être effectuée de la main à la main de son vivant, évitant les formalités notariales et les droits de donation.
Toutefois, il convient de faire attention à la période à risque : « Si le donateur décède dans les 3 ans (5 ans en Région wallonne), le bien donné revient dans la succession, entraînant des droits de succession plus élevés. Pour éviter cela, privilégiez la donation notariée avec un taux de droits de donation fixe de 3 à 7 %, selon la région et le lien de parenté ».
Une alternative consiste en un don avec “réserve d’usufruit”, permettant au donateur de conserver l’usage et les bénéfices du bien jusqu’à son décès. « Dans ce cas, il faut prévoir un droit de retour pour éviter des droits de succession sur le bien mobilier en cas de décès prématuré du bénéficiaire ».
CAROLINELe testament, une option plus flexible
Le testament, quant à lui, offre une flexibilité accrue, car il peut être modifié ou annulé. Il peut être rédigé seul.e, avec l’aide d’un avocat spécialisé ou d’un notaire, voire en ligne via une plateforme comme Legacio, qui propose un service de rédaction de testament olographe par des juristes spécialisés. Boris De Vleeschouwer, son fondateur, précise : « Ce type de testament, valide sans notaire, doit être réécrit à la main, signé et daté. Il est crucial de remettre une copie écrite à chaque partie concernée pour assurer sa prise de connaissance. L’enregistrement au Registre central des testaments peut également garantir son exécution le jour du décès. »
En matière de donations, bien que la liberté de choisir les bénéficiaires soit autorisée, des règles spécifiques entrent en jeu. « Toutes les donations sont additionnées pour composer une masse fictive, dont la moitié revient aux enfants. Ainsi, ils ont la possibilité d’entamer une action en réduction contre les divers bénéficiaires », explique maître Misonne. De même, les donations aux enfants au détriment d’autres héritiers sont considérées comme des avances sur la succession (sauf stipulation contraire), éliminant toute inégalité entre les enfants.
En conclusion, il est crucial de planifier sa succession, que ce soit par donation ou testament, en dialoguant ouvertement avec ses futurs héritiers pour garantir une transition paisible et équitable du patrimoine familial.
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MISONNE AVOCATE AU CABINET RIVUS
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Aujourd’hui, de nombreux objets et applications sont conçus pour répondre aux besoins des seniors, simplifiant ainsi divers aspects de leur vie quotidienne. Chaque outil se veut convivial et accessible pour renforcer l’indépendance et le bien-être de ses utilisateurs. La preuve par 4.
Par Valérie Kinzounza
Parmi les nombreux outils utilitaires développés pour faciliter la vie de chacun, les assistants vocaux tels que Google Home et Amazon Echo ont constitué une véritable révolution, surtout pour les seniors. L’assistant vocal peut en effet répondre à une quantité de commandes vocales, mais aussi jouer de la musique, lire des livres, programmer des rappels, passer des appels téléphoniques, envoyer des messages, etc. Il peut également se connecter à des appareils domestiques intelligents, ce qui permet de contrôler les lumières, le thermostat, ou même la porte d’entrée !
Ce super assistant peut aussi être programmé pour envoyer des alertes de sécurité en cas de besoin, comme en cas d’urgence médicale ou de détection de fumée. Et pas d’inquiétude pour ceux qui sont moins familiers avec la technologie, puisque les commandes vocales sont très faciles à utiliser. Doté d’une multitude de fonctionnalités, l’assistant vocal peut véritablement aider à améliorer la sécurité, la communication, la mémoire, et la qualité de vie de tous, mais surtout des seniors plus isolés ou physiquement diminués. Ce qui leur permet donc de vivre une vie plus indépendante et plus agréable.
C’est une réalité qui fait partie du quotidien des personnes d’âges avancé : la prise de médicaments liée à des problèmes de santé, légers ou lourds. Il n’est pas toujours évident de jongler entre les différentes consignes de plusieurs traitements. Comment faire pour ne rien oublier et ne pas manquer une prise ? Plusieurs applications proposent de simplifier une gestion médicamenteuse qui peut s’avérer fastidieuse.
Medi’Rappel est l’une d’elles. Il s’agit d’une application gratuite (sur IOS et Android) de gestion médicale qui vous rappelle de prendre vos médicaments à l’heure exacte. Avec des alarmes personnalisables, des commentaires, un planificateur et des rappels visuels, l’application aide à éviter les oublis. Très claire, ergonomique et simple d’utilisation, elle permet aussi de stocker les informations médicales importantes et de partager facilement les données avec vos proches ou les professionnels de la santé, en cas de besoin ou pour un suivi plus quotidien.
L’application gratuite Mementop a été spécialement conçue pour vous aider à organiser vos activités quotidiennes de manière simple grâce à un agenda intelligent. Celui-ci vous rappelle vos différentes activités prévues pendant la journée ou les dates d’anniversaire, par exemple. De quoi bien s’organiser et ne rien oublier. L’agenda partagé vous permet également de créer vos événements et de les partager avec votre petite tribu.
Pour éviter les distractions et les trous de mémoire, il est possible d’y stocker des informations importantes ou confidentielles (mots de passe, prescriptions médicales, codes d’accès, modes d’emploi, etc.). Enfin, l’application propose une messagerie sécurisée, une gazette d’informations variées, des jeux et des énigmes pour vous amuser et stimuler votre mémoire de façon ludique, ainsi que le partage de photos et de vidéos avec vos proches. En somme, une application à la fois conviviale et utile !
Le sport reste évidemment un incontournable pour rester en forme, autant physiquement que mentalement. De nombreuses applications l’ont compris et proposent de l’exercice physique adapté. Senior Fitness (gratuit, sur IOS et Android) est une app d’exercices qui aide à augmenter la flexibilité, la mobilité et la santé générale grâce à des entraînements complets du corps, des exercices d’équilibre, des étirements et du renforcement musculaire. Tous ces exercices ont été pensés pour être réalisés par des personnes âgées ou à mobilité réduite, avec des vidéos détaillées qui guident les utilisateurs.
Autres applis intéressantes : Coach Nage (gratuit, sur IOS et Android) suit l’évolution de vos séances de natation, dispense d’excellents conseils, et vous met en relation avec d’autres membres pour vous motiver. MapMyWalk (Android, iPhone), vous incite à marcher en comptant vos pas et vos calories brûlées. Elle vous connecte également à vos connaissances, avec qui vous pouvez partager itinéraires, balades, et autres bons plans. Quant à Bouge Plus (19,99€ sur Android et IOS), créée par 3 médecins, elle vous concocte un programme complet sur 12 semaines pour garder la forme à travers de petits défis et des jeux.
Selon une étude, 80% des maisons renfermeraient un air bien plus pollué que celui de l’extérieur. Un problème notamment causé par l’humidité présente dans nos habitations. Heureusement, il y a des solutions.
S’il y a bien un problème dans le domaine de la rénovation et de la construction qu’il ne faut pas prendre à la légère, c’est bien l’humidité. Et, malheureusement, elle est bien plus présente dans nos logis qu’on ne le croit. Insidieuse et progressive, elle peut souvent gagner votre maison ou votre appartement de différentes manières. Et, il n’y a pas que les murs de votre habitation qui risquent d’en pâtir. “L’humidité fait en effet plusieurs victimes : votre bâtiment, votre portefeuille et votre santé”, explique Olivier Peraux, directeur d’agence chez MURPROTEC, une entreprise renommée dans le secteur depuis 1954.
Sans grande surprise, c’est tout d’abord votre bâtiment qui en prendra un coup. De la moisissure, des tâches diverses, un papier peint qui gonfle sont autant de manifestations qui doivent vous alerter. Une habitation humide sera également bien plus difficile à chauffer. Et qui dit augmentation du chauffage, dit inévitablement répercussion sur votre portefeuille. Enfin, la présence d’humidité peut également provoquer certaines affections médicales dont on se passerait volontiers, surtout chez les seniors dont l’état de santé est parfois plus fragile. “Il n’est pas rare que l’humidité provoque des rhinites, des allergies, de l’asthme ou d’autres problèmes aux bronches et aux poumons”.
Heureusement, des solutions durables existent pour venir à bout de ce fléau. “Quelque soit la cause de votre problème d’humidité, MURPROTEC vous garantit un résultat 100% efficace”, assure Olivier Peraux “De plus, tous nos produits sont
exclusifs et nos Centrales de Traitement de l’Air sont fabriquées intégralement chez nous à Braine-l’Alleud”. Mais pour pouvoir prendre les bonnes initiatives, mieux vaut d’abord connaître la source du problème. Car, l’humidité peut se déclarer de différentes manières.
Ce type de manifestation se rencontre lorsque la protection entre le sol et le mur est absente ou insuffisante. Comme son nom l’indique, l’humidité remonte alors dans les murs par un phénomène de capillarité. Le mur se gorge d’eau comme une éponge. “La plupart du temps, les maisons disposent d’un Diba, une membrane fine qui joue le rôle de barrière entre le sol et le mur. Mais parfois cette membrane vient à manquer ou dysfonctionne”. Dans ce cas de figure, la seule solution consiste à recréer ce Diba entre le sol et le mur. “Un produit est injecté sous pression et on le laisse sécher. On vérifie ensuite que les murs sont asséchés avant de réenduire”. Grâce à cette technique, le taux d’humidité ne dépassera jamais plus les 6% (un critère respectant les recommandations du CSTC).
Ces infiltrations peuvent se manifester autant dans les sols que dans les murs. “On peut venir à bout de ce problème en venant drainer l’eau des murs qui sont impactés”, explique Olivier Peraux. “L’eau est ensuite amenée vers une évacuation existante”. Il est également possible d’avoir recours à un puisard et une pompe de relevage.
Elle survient généralement lorsque les murs enterrés ne disposent pas d’une étanchéité suffisante. Ils absorbent alors l’eau de la terre. “On retrouve notamment ce phénomène dans les caves”. Dans ce cas, on procédera à l’enduisage des murs visés à l’aide d’un certain type de cuvelage. “Cela n’a rien d’un simple cimentage hydrofuge. C’est bien plus que ça”, poursuit Olivier Peraux. “Il s’agit d’un cuvelage tricomposant réalisé à base d’époxy. Il est 100% étanche à l’eau et à l’air”. Le principe de cette solution va permettre de renforcer les murs de l’intérieur tout en coupant leur apport en oxygène. Ce qui stoppe l’érosion.
C’est ce type d’humidité qui engendrera généralement les tâches de moisissures, de même que la buée sur les vitres ou encore les champignons sur les murs. Pour en venir à bout, la ventilation mécanique est la solution phare. “Il ne faut pas confondre l’aération et la ventilation. Il ne suffit malheureusement pas d'ouvrir une fenêtre de temps en temps pour voir ces problèmes d’humidité disparaître”. De plus, lorsqu’il fait trop humide à l’extérieur, on risque d’avoir l’effet inverse et d’emprisonner cette humidité à l’intérieur. “Une centrale de Traitement d’Air aspirera l’air extérieur, le filtrera et le réchauffera pour ensuite le pulser dans votre habitation”. Elle fera d’une pierre deux coups en assainissant également l’air pollué.
Antoine Lebrun
En tant qu’ancien PDG du WWF Belgique et aujourd’hui à la tête de la Fondation Pairi Daiza, mon parcours a façonné ma vision d’un monde où la préservation du vivant est fondamentale. Et dans cette quête vitale, chaque don compte.
Elles sont si belles, les histoires de sauvetages d’animaux sur les réseaux sociaux. Des animaux blessés, affamés, terrifiés qui retrouvent peu à peu la vie et la liberté grâce aux soins de belles âmes. Nous aussi, nous aimerions nourrir à la main cet animal orphelin, donner confiance à cet oiseau qui ne pouvait plus voler, replanter des arbres sur des terres calcinées, … Même si l’ampleur de la tâche peut parfois désespérer, il est pourtant possible d’agir. Faire un don à une Fondation comme Pairi Daiza est une façon concrète de s’engager.
A l’échelle mondiale, il est estimé que mille milliards de dollars par an sont nécessaires pour protéger la nature. Aujourd’hui, les ONG n’en mobilisent que deux milliards. Loin d’être une dépense perdue, c’est au contraire un investissement nécessaire. Nous faisons partie d’un organisme vivant et nous aurions tort de considérer cette biodiversité comme une externalité. Il faut que nous prenions en compte que l’on doit protéger
#Fokus50plus
ce vivant pour nous protéger nous-mêmes, sous peine d’en payer le prix.
A Pairi Daiza, nous construisons une communauté pour soutenir des projets inspirants réalisés au profit de la protection de la nature et de la vie animale. Depuis la création de la Fondation Pairi Daiza en 2015, des millions d’euros ont été injectés dans 26 programmes de conservation et de préservation de la nature à travers le monde. Ces projets concernent, par exemple, la recherche scientifique au profit des pandas géants, des éléphants d’Asie et des morses, le reboisement et l’irrigation de territoires pour les orangs-outans de Bornéo, ou encore la réintroduction à l’état sauvage d’animaux éteints, ou quasiment éteints.
Donner, c’est protéger nos milieux naturels menacés et contribuer à la préservation d’un équilibre essentiel entre tous les êtres vivants. Un don est un investissement direct dans un avenir où la coexistence harmonieuse de toutes les espèces est une nécessité. La Pairi Daiza Foundation bénéficie de l’agrément d’exonération fiscale partielle dans le chef du donateur. Cette exonération est de 45% pour tous les dons de plus de 40 €, sur base annuelle.
Même si l’ampleur de la tâche peut parfois désespérer, il est pourtant possible d’agir.
— ANTOINE LEBRUN DIRECTEUR DE LA FONDATION PAIRI DAIZA
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